samedi 31 décembre 2011

Le bonheur.

Le bonheur : Apparemment, nous le définissons chacun à notre façon, avec nos aspirations, nos besoins et nos manques. Il nous arrive de changer notre définition selon les situations, lorsqu’on est affligé par une mauvaise grippe, il nous semble que le bonheur c'est le bien-être relatif dans lequel on se trouvait avant d'être malade. Lorsqu'on est très fatigué, il nous semble qu'un bon lit suffirait à nous rendre totalement heureux. Pas étonnant qu'on parvienne si peu souvent au bonheur : on ne sait même pas ce que c’est ! Avec une définition plus généralement applicable il serait peut-être plus facile de l'atteindre, car notre objectif serait plus clair.                                                                                                                                                                                   Le bonheur c'est une expérience où on éprouve plusieurs sentiments et émotions, avec intensité. C'est donc quelque chose d'intensément vivant et, par conséquent, de très changeant. Plus particulièrement, le bonheur dépend de la satisfaction de nos besoins les plus importants. Mais comme ces besoins sont en changement continuel, l'expérience qu'on recherche est toujours différente de ce qu'elle était la fois précédente. Ceci nous amène à un aspect important de la recette du bonheur : nous partons tous égaux et tous différents dans notre poursuite du bonheur. C'est ce que nous réalisons qui le construit. Ces réalisations se mesurent en rapport avec nos capacités : il suffit d'aller au bout de ses propres capacités, au bout de soi. Chaque personne, selon ses capacités particulières, a besoin de réalisations différentes pour arriver à son bonheur, à la condition d'y mettre l'effort et la persévérance nécessaires, le bonheur est à la portée de chacun d'entre nous, car il se mesure à partir de nos capacités individuelles. C'est pour ça que tout le monde le recherche toujours : c'est une mesure de notre capacité de vivre à la hauteur de nos possibilités.
   

vendredi 30 décembre 2011

Possesion!

A chaque fois, avec chaque personne que j’aime, il y a derrière cet amour un sentiment de possession qui ne cesse de m’envahir à chaque instant de ma vie. Je ne le comprends pas mais je sens que c’est par ce que je ne veux cette personne que pour moi toute seule qu’il est là ! Mais avec le temps j’ai compris que ce sentiment n’est présent que quand on est pas sur de l’amour de l’autre, comme par exemple avec Kawtar j’avoues que j’ai toujours eus du mal a admettre que quelqu’un d’autre lui parle ou s’approche d’elle, mais avec le temps ,j’ai appris  que j’avais une place dans sa vie et que personne n’allait me remplacer dans sa vie comme personne n’allait le faire dans la mienne , je me suis vite débarrasser de ce sentiment embarrassant et je vis bien !

Ma source d'énérgie!

Nos parents ont choisi et on voulu nous mettre au monde, ils nous ont bercé de leur amour et leur tendresse, nous ont donné le meilleur d'eux même pour que nous ne manquions de rien, ils se pliaient à nos plus tordus caprices pour nous voler un sourire ou un bisou.                                                                                                                                                                                                               Au fil des années, les petits bouts de choux grandissent, apprennent de la maison et de la rue et des autres
la personnalité de chacun commence alors à se forger, à prendre forme, on retrouvera alors des jeunes adolescents surexcités,  d'autres qui choisiront le silence et la solitude, et d'autres et d'autres...
Ces jeunes auront beau vouloir se montrer forts et se résigner à s'imposer, les parents auront toujours leurs mots à dire, ils en ont le droit, c'est à cette période là oû un enfant a besoin de conseils, a besoin de se sentir épaulé et soutenu, quelle dure épreuve pour les parents.                                                                                                                                                                                                     Nos parents ont dû bcp souffrir pour faire grandir, et c'est en grande partie grâce à eux que nous sommes nous ce que l'on est aujourd'hui, tant de sacrifices pour voir leurs enfants réussir, avoir une vie meilleure que la leur, leur éviter tout problème ou soucis.  Alors un grand merci à ces êtres exceptionnels, un merci dit avec le coeur, un merci qui ne se dit pas une fois ou deux, mais chaque jour, à chaque instant
Par un mot, un câlin, un cadeau, mais bcp de respect, de respect et encore du respect.     Lundi dernier mon père m'a reproché de ne pas passer assez de temps avec eux, de passer la majorité de mon temps seule dans ma chambre. IL trouvait cela tellement "bizarre" qu'il était convaincu que je cachais quelque chose, que je couvais un problème que je n'osais pas aborder avec lui.                                                                                                                                                                             Je ne vous cache pas que cette reproche réveilla en moi une colère que j'avais réussi à maîtriser jusque là.
Je sentais mon intimité violée, mon univers envahi...                                                                                      IL me grondait, oui, à mon âge, j'ai beau avoir 100 ans il me grondera toujours, mais je voyais bien dans ses yeux cette lueur, qui me prouvait que derrière son apparence de père furieux, se cachait un Homme qui avait besoin de ses enfants, qui ressentait le poids de plus plus pesant de ce vide, il voyait ses enfants grandir et construire leurs vies chacun a sa manière. Il ne lui restait plus que la petite mamounette (pas si petite que ça me direz vous), le dernier maillon de la famille.                                                                                                                                             J'ai autant besoin de mes parents qu'eux de moi, mais je vous avoue que je ne suis pas prête d'abondonner la plus miniscule parcelle de mon monde à moi, de ce monde que j'ai construit seule, dans la solitude et l'obscurité, ce monde ou j'ai appris à être forte et indépendante, à choisir entre ceux que j'aime et ceux qui m'aiment...
Cet espace si petit mais tellement vaste à mes yeux, c'est là oû je rêve, oû je concrétise, ou je respire...                                                                                                                                                                                                         Je ne suis pas seule, ou plutôt je ne le suis plus
J'ai de la chance d'avoir des amis irremplaçables,une famille à laquelle je tiens énormément
mais le fait de m'isoler est un besoin, ma façon à moi de me retrouver, me regarder dans le miroir sans être obligée de détourner le regard parceque je me trouve laide ou grosse..                                                                                                                                                                                                                        Ceci dit, je ne supporte pas que mes parents se fassent du mauvais sang  pour moi, mais c'est si difficile de leur expliquer, cela me paraît tellement naturel que je ne trouve même pas les mots pour leur expliquer.                                                                                                   
  Parfois les choses les plus simples sont les plus compliquer à expliquer   est ce vraiment un conflit de générations?                                                                                                                                                                    J'avais pris ma décision,je rentre plus souvent déjeuner avec eux, je reste discuter avant d'aller me coucher le soir, je ferai en sorte de passer bcp plus de temps avec eux.                         Mon respect, mon amour et mon dévouement envers mes parents ont eu raison de moi, je me suis inclinée
Je me suis inclinée cette fois, le ferais-je une autre fois? je ne sais pas

lundi 12 décembre 2011

La vériter de mon état.


C'est fini, il ne reviendra pas. C'est trop tard. Il a fini de jouer, fini de faire semblant. Cela ne lui apporte plus rien. Tout s'est arrêté il y a bien longtemps, alors abstiens toi, abstiens toi de croire que c'est encore possible. Il n'a plus envie de s'amuser avec toi, de te dire de fausses belles promesses, il s'est lassé, tu comprends? Tu peux rien contre ça, tu peux rien contre le temps q...ui passe. Alors pars, vas t'en, vas vivre ta vie. Tu es jeune, pourquoi tu restes accrochée à lui ? C'est fini, le cinéma est terminé. Tu n'avais pas d'importance à ses yeux. Crois moi, c'est vrai, je te dis pas ça pour que tu l'oublies, je veux juste te faire comprendre que toute cette histoire tu l'as mal interprétée. Il s'en est rendu compte et il est parti. C'est fini, il s'en fiche de ton état, s'en fiche de ce que tu ressens. Il est heureux sans toi, et puis oublie ses regards, ça ne signifie rien. Il ne demande de tes nouvelles à personnes, tu vois, il s'en fiche de savoir si tu vis bien avec son absence. Lâche prise, tu te tues pour rien, pour quelqu'un qui a joué avec toi. J'aurais compris si il avait été sincère, mais tout ce que tu as vécu avec lui, c'était faux, c'était calculé. Je sais que tu aurais voulu que je te dise autre chose, mais je peux pas, je peux pas te donner de l'espoir là où y'en a pas. Apprends à vivre sans lui, et tu seras mieux, je te le promets

vendredi 2 décembre 2011

Amitié

S’il t’est déjà arrivé de te rendre compte que certains de tes « amis » n’en étaient pas, si tu dis « mon ami » à propos du premier venu, si l’amitié te semble bien difficile à entretenir, c’est peut-être que tu te trompes sur sa définition. Alors avant de se lancer dans un petit guide pratique de l’amitié, on va commencer par se poser la question : un ami, un vrai, qu’est-ce que c’est et comment le trouver ?                                                                                                                    Un ami, c’est un allié                                                                                                   Un ami, c’est d’abord un allié, c ‘est à dire quelqu’un qui se réjouit vraiment de ton bonheur et de ta réussite. C’est aussi quelqu’un qui va faire ce qu’il peut, quand il le peut pour aider ta réussite ou ton bonheur. Pas tout le temps, pas à n’importe quelle condition, mais en fonction de ses contraintes et du rythme qu’a sa vie à lui. Un ami, c’est simplement quelqu’un qui a envie de t’aider à être heureux, parce que te voir épanouie fait partie de son propre équilibre.                                                                                                     Attention, pourtant. Méfie toi des gens qui t’aident pour te posséder, ou uniquement pour que tu leur renvoies l’ascenseur : l’amitié, ça n’est pas une boutique dans laquelle tu vends de l’affection ou du service. Ca, il faut toi aussi le garder en tête, pour apprendre à donner sans forcément attendre de retour. Sans que cela charge tes amis d’une quelconque « dette » envers toi. Surtout, ne fais pas les choses pour obtenir toi-même quelque chose. Ca, ça n’est pas de l’amitié, c’est du marchandage. La vraie amitié, c’est aider l’autre « gratuitement », juste parce que son bonheur à lui est un peu ton bonheur à toi.                                Les amis, on met parfois du temps à les trouver                                                                                                              Par peur du vide et de la solitude, par peur de ne pas être "normal", on a tendance à vouloir à tout prix s’entourer, quitte à n’avoir pour "amis" que des gens ‘toxiques". Ce réflexe, il faut s’en méfier. D’une part, parce qu’il se peut très bien que tu te laisses miner, bouffer par ces faux amis. D’autre part parce qu’en s’entourant d’une foule de personnes dont on ne partage pas vraiment les valeurs et qui ne sont pas rééllement ses "alliés", on finit par ne plus avoir assez de place et de temps pour faire entrer dans son monde des gens qui en valent vraiment la peine.                                                                                                       Or, des gens vraiment précieux, qui te donnent de l’énergie, qui t’inspirent, te soutiennent, te complètent, c’est plus rare qu’on ne croit. Et pour les trouver, il faut du temps et de la patience. Il faut donc accepter d’être plus « sélectif » dans ses amitiés, quitte à avoir moins d’"amis". Ce travail-là peut paraître difficile et long, pourtant il paie à la fin. Car au fur et à mesure, tu n’auras autour de toi que des gens en qui tu peux faire confiance, des gens « bienveillants » et heureux que tu t’épanouisses.                      On pourrait en fait comparer sa vie à un jardin. On ne fait pas entrer n’importe qui dans son jardin pour y faire n’importe quoi. On ne laisse pas le premier venu saccager nos plantations, balancer des déchets partout etc. Ca, ça paraît logique. Pourtant dans la vie, on n’applique pas toujours ce principe, et on se laisse envahir facilement par des gens qu’on croit nos amis… Pendant que les autres restent à la grille.                                                                                        Ton ami ne doit pas être ta chose (et vis versa)                                                                                                 La grande erreur qu’on fait tous à un moment ou à un autre, c’est de croire qu’une amitié peut être exclusive. On attend alors d’un ami qu’il soit tout. Qu’on se ressemble point par point, qu’on ait les mêmes goûts, qu’on fasse tout ensemble. Qu’il n’y ait jamais de clash, jamais de malentendu et… Qu’on ait notre ami pour nous seul.                                                                                              Cette vision de l’amitié est à la fois illusoire et très dangereuse. Car à force de tout attendre de l’autre et de le considérer comme un miroir de soi, on finit par étouffer la relation. Un peu comme dans un couple, quand on est trop exclusifs, on se refuse le droit d’avoir d’autres activités, d’autres amitiés, d’autres influences. Résultat : soit on finit par étouffer et ne plus avoir rien à se dire, soit l’un des deux souffre d’être la chose de l’autre.                                                                            Dis-toi bien qu’on n’a pas besoin de tout partager avec quelqu’un pour construire une amitié durable. On peut avoir de grands points de divergences, de grandes différences, mais être complémentaires. On n’a pas besoin non plus besoin de tout faire ensemble pour que l’amitié soit forte et résistante. Au contraire, quand chacun voit d’autres amis, mène ses propres activités, on s’enrichit encore plus. On apprend de l’expérience de l’autre et de ses différences… Bref, on fait vivre l’amitié et on la nourrit. C’est plutôt rassurant, non ?                                                                                            Pour conclure, en amitié comme ailleurs, n’exige pas trop de toi et des autres. Donne, et puis vois sur quoi ça débouche. Et ne te décourage pas si parfois, tu donnes de toi à des gens qui ne te méritent pas : c’est le jeu, après tout.

mercredi 30 novembre 2011

Elle

Elle a apparut dans ma vie comme ça sans la sentir et sans meme lui apreter attention. Elle a totalement changer ma façon de voir les choses et elle m'a rendu si forte! On a parler pendantdes heures on a rigoler on sé éclater et on a parler de tous . je me ss jamais sentis autant bien et telement soncère qu'avec elle. Elle a un surire qui temmène qu dela du monde et des parle qui te font sentir que tu n'ai pas seul au monde . Elle est tellement forte et tellement comprehensive qu'elle ne m'a rien laisser a dire. J'ai beau parler au gens et J'ai beau entendu de conseil mais jusqu'a elle et tous s'arrête.!!ça fais 3mois qu'en ce connait et j'ai l'impression d'avoir tjr vécu avec elle. Que dieu la garde !! (Mlle Kawtar Bajare)

mardi 4 octobre 2011

Petit mais elle veux trop dire.

Soudain, elle surgit venue des profondeurs,sa valeur est inestimable, tant elle est vraie. Plus riche qu’un trésor, elle perle au gré du moment, scintillante de vérité et pourtant siindéchiffrable qu’aucun n’eut pensé de lacomprendre. Merveille qu’elle est, elle s’écoule vivementpour laisser fuir une autre qui la suit.Remplie de joie ou de mélancolie, seule la personne qui la laisse filer peut la comprendre car elle crie dans le silence…!Où il y a une larme, il y a un coeur♥